Je continue ici mon précédant message sur les difficultés du sourçage Pour justifier l'injustifiable ... par un ... retour aux sources. Ces deux articles sont motivés par une discussion du Bistro du 22 mars sur les sources où, une fois de plus, des contributeurs démontrent leur ignorance, que cela soit leur manque de distinction entre référence et source (cf. mon message du 25 mars 2013) ou leur ignorance de la qualification et de la qualité des différentes sources.
Quand on parle de ce que l'on ne connait pas ou que l'on perçoit mal, quand on veut simplifier ou que l'on survole le sujet, on fini toujours par établir et perpétuer des contre-vérités ; c'est le cas type des sources de qualité. Cela a pour conséquence une difficulté récurrente à respecter une règle fondamentale de Wikipédia, la vérifiabilité : « Une information ne peut être mentionnée que si les lecteurs peuvent vérifier qu'elle a déjà été publiée par une source [...] de qualité. »
Mais ici encore, nous sommes en pleine incohérence pour trois raisons principales : une différence de contributeurs, une différence de temps et l'absence rationalisation. À des moments différents, par différents contributeurs, s'accumule alors dans différentes pages de règle, de recommandation ou d'aide de Wikipédia, des contributions qui ne sont jamais mis en cohérence, en conséquence, on trouve tout et n'importe quoi. Voilà peut être la raison pour laquelle des contributeurs disent aussi tout et n'importe quoi.
Le cas se pose donc pour les sources de qualité mais aussi pour les sources secondaires de qualité. Je vais essayer de ne pas dire, moi aussi, n'importe quoi, même si cela bouscule des idées trop mal reçues.
Pour ne pas simplifier l'utilisation de la notion de source de qualité, certains contributeurs pensaient savoir mieux que d'autres et ont rajouté, ici ou là, d'autres qualificatifs comme « sources fiables », « sources valables », « sources pertinentes », « sources neutres », « sources sérieuses », « sources de référence », etc. Je considère cela comme tout à fait superfétatoire. Il est aussi demandé pour « des informations exceptionnelles, des sources d'une qualité exceptionnelle. » Rien que cela, pour moi tous ces qualificatifs sont, au pire inutiles, au mieux plus ou moins synonymes à « sources de qualité », le seul qualificatif qui vaille au regard des PFs - principe fondateur - et des règles en découlant. La difficulté réside donc maintenant dans la définition de cette qualité.
Qu'est-ce qu'une source de qualité ?
Il existe une tentative de définition dans Wikipédia:Citez vos sources, la qualité d'une source se mesure entre autres critères à :
Il existe aussi dans Wikipédia une autre tentative de définir une source de qualité :
Qu'est-ce qu'une source secondaire ?
Apparemment les choses sont simples, les sources primaires sont des documents de première main datant de l'époque des faits, les sources secondaires sont des travaux de synthèse datant d'après les faits et les sources tertiaires, si elles existent, le sujet est largement discuté (cela servirait à classifier les dictionnaires, annuaires, almanachs, etc.), seraient des sélections et des compilations de sources primaires et/ou secondaires. Il existe pour le moment sur Wikipédia un essais, Wikipédia:sources primaires et secondaires, destiné, je suppose, à devenir un jour une recommandation, qui donne une définition de chacune des sources :
Il est des sources qui datent du moment des faits, se sont les sources primaires, il en est d'autres qui sont postérieures aux faits, se sont les sources secondaires ; il n'est jamais question de sources tertiaires. Il faudrait d'abord sur Wikipédia que certains arrêtent de parler de ce qu'ils ne comprennent pas et perpétuent ainsi des idées fausses sur les sources. Il ne suffit pas, par exemple, de se gargariser avec les sources primaires, secondaires et même tertiaires, faut-il encore être capables d'en faire une vraie distinction.
Que les sources secondaires, pour parler d'un fait passé, s'appuient sur des sources du moment des faits, sur des sources primaires, cela est logique mais pas général, il existe des sources du moment des faits qui se basent aussi sur d'autres sources primaires. Que les sources secondaires constituent une analyse ou une synthèse des sources primaires, généralement mais pas exclusivement, il est des sources secondaires qui ne sont rien d'autres que des sources primaires ; les antiquaires du XVIIIe siècle se contentaient bien trop souvent de recopier les sources primaires sans plus d'analyse ou de synthèse (cela avait au moins l'avantage de sauver des sources primaires aujourd'hui perdues).
Il existe aussi du matériel qui dans une optique d'étude précise peut être considéré comme source primaire ou source secondaire. Tout le monde conviendra qu'un historien rédigeant un manuel d'histoire en analysant des documents de l'époque (des sources primaires), en synthétisant d'autres travaux d'historiens (des sources secondaires) réalisera un travail qui deviendra une source secondaire. Mais pour l'historien de l'enseignement ou l'historien de l'histoire, ce manuel, avec d'autres, deviendra une source primaire pour étudier l'évolution de l'enseignement de l'histoire.
Alors pourquoi privilégier sur Wikipédia les sources secondaires aux sources primaires alors que cela n'est jamais cité ni même sous-entendu ? Rejeter les sources primaires sous le prétexte que celles-ci nécessiteraient une interprétation, donc serait susceptible d'un TI - travail inédit - est particulièrement risible. Le raccourci, sources primaires égalent TI, est encore une interprétation des PFs sans aucune justification. Où est le TI quand on retranscrit un fait établi, une date, un nom, une possession, un seigneur etc. ?
Je ne parlerai pas ici de ces contributeurs que le ridicule ne tue pas et qui rejettent systématiquement les sources anciennes au seul prétexte de leur date d'édition, sans vérifier un seul instant si des sources de qualité récentes ne les mentionneraient pas dans leurs bibliographies (comble du ridicule ils qualifient de sources primaires ces sources anciennes, rien que cela)
Les sources primaires seraient susceptibles d'erreurs ? Encore risible, les sources secondaires seraient capables de rectifier ces erreurs ? Si cela était ça se saurait, le nombre de sources secondaires, même de qualité, si elles sont sans fautes d'orthographes (cf. ci-dessus), ne sont pas toujours exemptes d'erreurs et même parfois d'erreurs grossières.
Il suffirait donc qu'un auteur donne une information quelconque dans un livre qualifié de source de qualité pour que celle-ci ait force probante sur une source primaire, j'ai lu récemment sur le Bistro qu'il fallait aller vérifier sur une tombe les dates de naissance ou de décès ... à en pisser de rire. Je ne vous donnerais pas la référence d'un article auquel je vient de participer (vous n'avez pas à faire de rapprochement avec mon identité IRL - in real life - dans la vie réelle) avec deux autres chercheurs, article publié dans une revue à comité de lecture, et qui vient de rectifier une information qui se recopiait de livre d'érudit en livre d'érudit depuis un siècle et demi sans qu'aucun n'ait jamais vérifié l'information dans les sources primaires, c'est vrai qu'elles étaient bien cachées au fin fond de la BN - Bibliothèque nationale - et de la BHVP - Bibliothèque historique de la ville de Paris. Tout le monde connait ces auteurs, souvent académiciens, qui recopient toutes les bêtises passées des biographies qu'ils pompent aveuglément, pour ne pas porter au pinacle du sourçage les sources secondaires même d'auteurs dits de qualité. Que dire aussi de ces historiens régionaux qui passent une vie à éplucher toutes les sources primaires de leurs archives régionales, qui publient souvent à compte d'auteur, et qui finissent par mieux connaître leur « petites histoire » et que les universitaires-historiens pillent souvent sans scrupule pour écrire leur « grande histoire ». Laisser moi rire. C'est vrai, que parallèlement à cela certains élèvent les plumitifs de la presse au niveau des sources secondaires d'auteur de qualité, je suppose. Avez-vous déjà vu un journaliste donner des sources secondaires de qualité qu'ils n'auraient pas pompées dans Wikipédia ? Repomper l'information d'un attaché de presse, d'un responsable de communication, du premier dossier de presse venu, permettrait à un contributeur de passer du bruit de couloir à l'information de qualité digne d'une source secondaire. Où sont les sources de qualités ? Il faut vraiment arrêter le ridicule.
Les sources secondaires de qualité servent à sourcer un article, les sources primaires le font très bien aussi pour référencer une information précise, quant aux sources tertiaires, elles ne servent à rien, sauf à être recopiées telles quelles quand elles sont sous licence libre ou dans le domaine public. Les sources journalistiques, comme les blogs ou les sites perso ne sont rien, et surtout pas des sources de qualité en l'absence de références tirées de vraies autres sources de qualité et non pas de quelconques on-dit.
Si les contributeurs s'attachaient plus à vérifier si la source en question était reprise ou citée par d'autres sources de qualité plutôt que de discuterdu sexe des anges de sa catégorisation en source secondaire, ainsi irait mieux Wikipédia.
Quand on parle de ce que l'on ne connait pas ou que l'on perçoit mal, quand on veut simplifier ou que l'on survole le sujet, on fini toujours par établir et perpétuer des contre-vérités ; c'est le cas type des sources de qualité. Cela a pour conséquence une difficulté récurrente à respecter une règle fondamentale de Wikipédia, la vérifiabilité : « Une information ne peut être mentionnée que si les lecteurs peuvent vérifier qu'elle a déjà été publiée par une source [...] de qualité. »
Mais ici encore, nous sommes en pleine incohérence pour trois raisons principales : une différence de contributeurs, une différence de temps et l'absence rationalisation. À des moments différents, par différents contributeurs, s'accumule alors dans différentes pages de règle, de recommandation ou d'aide de Wikipédia, des contributions qui ne sont jamais mis en cohérence, en conséquence, on trouve tout et n'importe quoi. Voilà peut être la raison pour laquelle des contributeurs disent aussi tout et n'importe quoi.
Le cas se pose donc pour les sources de qualité mais aussi pour les sources secondaires de qualité. Je vais essayer de ne pas dire, moi aussi, n'importe quoi, même si cela bouscule des idées trop mal reçues.
Pour ne pas simplifier l'utilisation de la notion de source de qualité, certains contributeurs pensaient savoir mieux que d'autres et ont rajouté, ici ou là, d'autres qualificatifs comme « sources fiables », « sources valables », « sources pertinentes », « sources neutres », « sources sérieuses », « sources de référence », etc. Je considère cela comme tout à fait superfétatoire. Il est aussi demandé pour « des informations exceptionnelles, des sources d'une qualité exceptionnelle. » Rien que cela, pour moi tous ces qualificatifs sont, au pire inutiles, au mieux plus ou moins synonymes à « sources de qualité », le seul qualificatif qui vaille au regard des PFs - principe fondateur - et des règles en découlant. La difficulté réside donc maintenant dans la définition de cette qualité.
Qu'est-ce qu'une source de qualité ?
La source - © Ingres (La Manon de Wikipédia) |
- la diffusion : le volume, mais aussi la qualité du lectorat – notamment le nombre de lecteurs, la présence de la publication dans des bibliothèques universitaires, etc. ;
- la spécialité de la source qui doit correspondre au thème de l'article ;
- l'engagement : la source est-elle politiquement impartiale sur le sujet traité ?
- l'identité et la réputation : la source publie-t-elle souvent des résultats erronés ? Est-elle souvent évoquée comme référence par des sources non confidentielles ? A-t-elle reçu des prix ou des distinctions notables ? Est-ce une source institutionnelle ? Quelle est la réputation de l'éditeur par rapport au sujet traité ?
- notamment pour la presse, le professionnalisme de la structure, s'agissant notamment de vérifier et d’analyser les faits, les aspects légaux, les preuves et les arguments ;
- l'évaluation de la source par des tiers : comité de lecture, éditeur, rédacteur en chef, etc.
- les liens avec d'autres sources quant à l'information diffusée : de quelle manière les informations publiées par la source sont-elles évoquées ou reprises par d'autres sources ? Est-elle reprise dans des bibliographies ? Est-elle citée dans les médias ?
- la date : la source est-elle datée ? Les informations qu'elle contient sont-elles à jour ? Ont-elles depuis sa publication fait l'objet de critiques ou de remises en cause ?
- la forme : orthographe, niveau de langue ...
- etc.
une source de qualité est toujours citée comme source dans d'autres sources de qualité ou reprise dans la bibliographie d'autres sources de qualité.Hors cela pas de salut. Ce critère a aussi l'avantage d'écarter les nouvelles parutions autant qu'elles n'ont pas été validées en étant reprises ou citées par des sources de qualité. Si l'auteur de cette nouvelle parution est habituellement reconnu comme un auteur de qualité, il ne tardera pas d'être repris ou cité. Et surtout un avantage indiscutable, hormis la simplicité de la définition, elle ne prête pas à discussion et donc à des guerres d'édition ; il suffit de citer dans quelles bibliographies la source est donnée pour qualifier cette source de source de qualité et ainsi répondre aux exigences des PFs.
Il existe aussi dans Wikipédia une autre tentative de définir une source de qualité :
- les articles de Wikipédia devraient reposer principalement sur des sources secondaires fiables ;
- Les articles de Wikipédia sont habituellement sourcés par des sources secondaires fiables et de qualité ;
- etc.
Qu'est-ce qu'une source secondaire ?
La Source - © Frédéric Délos |
- Les sources primaires sont des travaux originaux, ou des rapports d'événements, qui peuvent constituer une base pour des travaux d'analyse ou de recherche ;
- Les sources secondaires sont des documents qui utilisent des sources primaires et dont ils constituent une analyse, une synthèse, une explication ou une évaluation ;
- Une source tertiaire est une compilation généralement exhaustive de sources secondaires et qui fournit une synthèse de leur contenu.
Il est des sources qui datent du moment des faits, se sont les sources primaires, il en est d'autres qui sont postérieures aux faits, se sont les sources secondaires ; il n'est jamais question de sources tertiaires. Il faudrait d'abord sur Wikipédia que certains arrêtent de parler de ce qu'ils ne comprennent pas et perpétuent ainsi des idées fausses sur les sources. Il ne suffit pas, par exemple, de se gargariser avec les sources primaires, secondaires et même tertiaires, faut-il encore être capables d'en faire une vraie distinction.
Que les sources secondaires, pour parler d'un fait passé, s'appuient sur des sources du moment des faits, sur des sources primaires, cela est logique mais pas général, il existe des sources du moment des faits qui se basent aussi sur d'autres sources primaires. Que les sources secondaires constituent une analyse ou une synthèse des sources primaires, généralement mais pas exclusivement, il est des sources secondaires qui ne sont rien d'autres que des sources primaires ; les antiquaires du XVIIIe siècle se contentaient bien trop souvent de recopier les sources primaires sans plus d'analyse ou de synthèse (cela avait au moins l'avantage de sauver des sources primaires aujourd'hui perdues).
Il existe aussi du matériel qui dans une optique d'étude précise peut être considéré comme source primaire ou source secondaire. Tout le monde conviendra qu'un historien rédigeant un manuel d'histoire en analysant des documents de l'époque (des sources primaires), en synthétisant d'autres travaux d'historiens (des sources secondaires) réalisera un travail qui deviendra une source secondaire. Mais pour l'historien de l'enseignement ou l'historien de l'histoire, ce manuel, avec d'autres, deviendra une source primaire pour étudier l'évolution de l'enseignement de l'histoire.
Alors pourquoi privilégier sur Wikipédia les sources secondaires aux sources primaires alors que cela n'est jamais cité ni même sous-entendu ? Rejeter les sources primaires sous le prétexte que celles-ci nécessiteraient une interprétation, donc serait susceptible d'un TI - travail inédit - est particulièrement risible. Le raccourci, sources primaires égalent TI, est encore une interprétation des PFs sans aucune justification. Où est le TI quand on retranscrit un fait établi, une date, un nom, une possession, un seigneur etc. ?
Je ne parlerai pas ici de ces contributeurs que le ridicule ne tue pas et qui rejettent systématiquement les sources anciennes au seul prétexte de leur date d'édition, sans vérifier un seul instant si des sources de qualité récentes ne les mentionneraient pas dans leurs bibliographies (comble du ridicule ils qualifient de sources primaires ces sources anciennes, rien que cela)
Les sources primaires seraient susceptibles d'erreurs ? Encore risible, les sources secondaires seraient capables de rectifier ces erreurs ? Si cela était ça se saurait, le nombre de sources secondaires, même de qualité, si elles sont sans fautes d'orthographes (cf. ci-dessus), ne sont pas toujours exemptes d'erreurs et même parfois d'erreurs grossières.
Il suffirait donc qu'un auteur donne une information quelconque dans un livre qualifié de source de qualité pour que celle-ci ait force probante sur une source primaire, j'ai lu récemment sur le Bistro qu'il fallait aller vérifier sur une tombe les dates de naissance ou de décès ... à en pisser de rire. Je ne vous donnerais pas la référence d'un article auquel je vient de participer (vous n'avez pas à faire de rapprochement avec mon identité IRL - in real life - dans la vie réelle) avec deux autres chercheurs, article publié dans une revue à comité de lecture, et qui vient de rectifier une information qui se recopiait de livre d'érudit en livre d'érudit depuis un siècle et demi sans qu'aucun n'ait jamais vérifié l'information dans les sources primaires, c'est vrai qu'elles étaient bien cachées au fin fond de la BN - Bibliothèque nationale - et de la BHVP - Bibliothèque historique de la ville de Paris. Tout le monde connait ces auteurs, souvent académiciens, qui recopient toutes les bêtises passées des biographies qu'ils pompent aveuglément, pour ne pas porter au pinacle du sourçage les sources secondaires même d'auteurs dits de qualité. Que dire aussi de ces historiens régionaux qui passent une vie à éplucher toutes les sources primaires de leurs archives régionales, qui publient souvent à compte d'auteur, et qui finissent par mieux connaître leur « petites histoire » et que les universitaires-historiens pillent souvent sans scrupule pour écrire leur « grande histoire ». Laisser moi rire. C'est vrai, que parallèlement à cela certains élèvent les plumitifs de la presse au niveau des sources secondaires d'auteur de qualité, je suppose. Avez-vous déjà vu un journaliste donner des sources secondaires de qualité qu'ils n'auraient pas pompées dans Wikipédia ? Repomper l'information d'un attaché de presse, d'un responsable de communication, du premier dossier de presse venu, permettrait à un contributeur de passer du bruit de couloir à l'information de qualité digne d'une source secondaire. Où sont les sources de qualités ? Il faut vraiment arrêter le ridicule.
Les sources secondaires de qualité servent à sourcer un article, les sources primaires le font très bien aussi pour référencer une information précise, quant aux sources tertiaires, elles ne servent à rien, sauf à être recopiées telles quelles quand elles sont sous licence libre ou dans le domaine public. Les sources journalistiques, comme les blogs ou les sites perso ne sont rien, et surtout pas des sources de qualité en l'absence de références tirées de vraies autres sources de qualité et non pas de quelconques on-dit.
Si les contributeurs s'attachaient plus à vérifier si la source en question était reprise ou citée par d'autres sources de qualité plutôt que de discuter
Le problème n'est pas la source, mais la vérifiabilité. La source n'est qu'un moyen possible. La vérité a sa propre force.
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