Il fut un temps où le comité d'arbitrage était au centre de mes occupations communautaires (cf. mon message du 23 juillet 2010) et ses vicissitudes sont en fait les dernières choses que je suis encore d'assez loin (cf. mes messages des 30 septembre 2011 et 22 février 2012) ou même encore sujet de mes réflexions (cf. mon message du 17 mars 2012). J'avais donc bien saisi les grandes manœuvres engagées par une minorité d'opposants cherchant une revanche sur le CAr - comité d'arbitrage - et qui avait abouti au blocage du fonctionnement de celui-ci par manque du quorum d'arbitres lors de la dernière élection (cf. mon message du 3 avril 2012). Je voulais faire un point, à mi-parcours, sur cette PDD - prise de décision - Réforme ou suppression du comité d'arbitrage, espérant y trouver enfin une argumentation permettant aux lecteurs et aux contributeurs de se faire une opinion précise sur les raisons qui justifieraient une suppression du CAr. Mais ici, dans ce message, je ne ferai aucun commentaire sur la première synthèse qui commence peut-être à se profiler dans cette PDD. Je n'y vois qu'un risque, que cette PDD soit bâclée pour être bouclée avant les prochaines élections du 17e CAr fin septembre 2012.
Pour en revenir à mon sujet, en fait, d'argumentation dans cette PDD, rien de cela, toujours la même suite d'éructations avec pour seule argumentation la grossièreté. Cette situation n'est pas le fait des différents intervenants qui, malheureusement, n'hésitent pas à mélanger leurs propos aux grossièretés d'un seul contributeur qui ne s’honore pas ainsi. J'avais déjà remarqué ce contributeur et j'avais, en son temps, en plus de ses grossièretés, noté ses façons de faire, rude de fréquentation, fluctuant de convictions, agressif de propos et intolérant de comportement. Sauf quelques vandales vite bannis de l'encyclopédie, j'ai rarement vu sur Wikipédia, de contributeurs aussi grossiers que Jean-Jacques Georges. C'est manifestement le seul mode d'expression qu'il pratique. J'espère pour lui, qu'il ne se comporte ainsi que sur Wikipédia, et qu'IRL - in real life (dans la vie réelle) - il a un vocabulaire plus châtié.
Mais pourquoi tant de haine, exprimée aussi grossièrement, envers le CAr ?
Pour comprendre, je suis donc revenu sur son arbitrage de 2009. Je lui faisais crédit, suivant ses dires, d'un arbitrage raté mais en fait ce n'est pas cela, c'est simplement un arbitrage dénié ; Georges refuse la réalité, Georges refuse au CAr de porter un jugement sur ses comportements pourtant clairement fautifs. Cela m'amène à faire trois constats :
Évidemment, dans ces conditions comment accepter un arbitrage ? Il n'a jamais rien fait, c'est toujours l'autre, de la faute de l'autre, il est aussi innocent que l'agneau qui vient de naître, il veut même des excuses, « il n'y a strictement rien à arbitrer », finit-il par écrire.
Mais pourquoi tant de haine, exprimé aussi grossièrement, envers les arbitres ?
À lire l'arbitrage, il est très difficile d’imaginer un seul instant que les arbitres ont failli. Pas de phrase définitive, de jugement à l'emporte-pièce, de révélation indigne, rien de plus ni de moins qu'une vérification de diffs - citation de texte -, qu'une analyse de situations, qu'un contrôle des propos tenus. En fin de compte, des décisions équilibrées, tellement équilibrées même que son contradicteur a été aussi déclaré fautif.
Ce qui doit gêner Georges, c'est qu'il a été déclaré plus coupable que l'autre parti, tellement plus coupable que les arbitres ont demandé à Georges de réfléchir 6 jours en dehors de Wikipédia pour insultes contre 3 jours à Horowitz pour agressivité. 3 jours, 6 jours, une éternité, surtout quand on est soi-disant déjà en wikibreak, voilà donc une décision que Georges qualifie « de débile et d'inique [...] d'absurde ou de sanctions ubuesques ».
C'est vrai que cette décision était assortie de l'interdiction de propos agressif et de guerre d'édition entre Georges et Horowitz sous peine d'un nouveau blocage de 2 semaines et demie. Georges devrait pourtant être satisfait, lui qui ne voulait plus avoir de contact avec son contradicteur. Cela ne peut donc pas valoir le qualificatif de « raisonnement spécieux » mais plutôt celui de jugement sensé.
Reste quand même un fait troublant pour quelqu'un qui juge si sévèrement les comportements d'autrui, son/ses faux-nez et leurs utilisations. Créer un faux-nez Chik-Chak pour contourner d'abord un wikibreak déclaré et ensuite un blocage prévisible n'est pas de la première intelligence ; conclusion logique un doublement de blocage. Cela doit peut-être être le fait de ce que George appelle « des inquisiteurs sadiques ».
Il ne faut pas oublier la section témoignages qui n'est qu'« une zone de non-droit où les contributeurs [...] viennent impunément vomir leur bile dixit Georges ». Quatre contributeurs sont donc venus témoigner en faisant état de ce que tout le monde peut constater : la grossièreté et l'agressivité de Georges et consécutivement ses blocages mais comme Georges se déclare exempt de tout défaut ce ne peut être qu'un vomi de bile. Oui mais voilà, trois des témoignages font la part des choses en précisant que Georges est souvent confronté à des PoV-pushers tout aussi agressifs, sinon plus. En fait, être réaliste et montrer que rien n'est tout noir ou tout blanc, c'est impunément vomir sa bile. Étonnante vision des choses.
S'il est une chose que Georges peut reprocher au CAr c'est les délais bien trop long pour arriver à une décision, 6 mois, c'est au moins 4 de trop. Délai qu'il faut relativiser, ouvert le 14 octobre, déclaré recevable le 20 octobre, Georges n'est intervenu dans cet arbitrage que les 14, 15 et 26 octobre. Voilà bien 6 mois « de tortures ».
En fait Jean-Jacques Georges n'a jamais accepté, qu'un contributeur ose le trainer devant le CAr pour ses agressions grossières, que des contributeurs témoins ont osé tenter de justifier ses comportements grossiers et que les arbitres ont osé confirmé sa grossièreté. Quels crimes de lèse-majesté, moi, grossier, jamais. Cela suffit aux yeux de Georges à justifier la disparition du CAr. « A part le fait que je ne me suis jamais senti représenté par cette saloperie de comité je n'ai jamais prêté de légitimité à ses méfaits [...] » écrit-il, il va amender sa phrase en « cet infect comité », peut-être n'est-il pas si aveugle que cela à sa grossièreté ? Grand bien lui fasse, mais faudrait-il encore avoir des arguments valables autres que des grossièretés pour obtenir la suppression du CAr.
Pour en revenir à mon sujet, en fait, d'argumentation dans cette PDD, rien de cela, toujours la même suite d'éructations avec pour seule argumentation la grossièreté. Cette situation n'est pas le fait des différents intervenants qui, malheureusement, n'hésitent pas à mélanger leurs propos aux grossièretés d'un seul contributeur qui ne s’honore pas ainsi. J'avais déjà remarqué ce contributeur et j'avais, en son temps, en plus de ses grossièretés, noté ses façons de faire, rude de fréquentation, fluctuant de convictions, agressif de propos et intolérant de comportement. Sauf quelques vandales vite bannis de l'encyclopédie, j'ai rarement vu sur Wikipédia, de contributeurs aussi grossiers que Jean-Jacques Georges. C'est manifestement le seul mode d'expression qu'il pratique. J'espère pour lui, qu'il ne se comporte ainsi que sur Wikipédia, et qu'IRL - in real life (dans la vie réelle) - il a un vocabulaire plus châtié.
Mais pourquoi tant de haine, exprimée aussi grossièrement, envers le CAr ?
Pour comprendre, je suis donc revenu sur son arbitrage de 2009. Je lui faisais crédit, suivant ses dires, d'un arbitrage raté mais en fait ce n'est pas cela, c'est simplement un arbitrage dénié ; Georges refuse la réalité, Georges refuse au CAr de porter un jugement sur ses comportements pourtant clairement fautifs. Cela m'amène à faire trois constats :
- Georges a toujours raison. Il participe du plus mauvais état d'esprit de Wikipédia, il est de ces contributeurs qui corrigent ici ou là les contributions des autres contributeurs mais qui n'acceptent pas qu'on corrige ses propres contributions. Pour lui, ses contributions, son texte sont toujours de la meilleure veine et donc intouchable. Les actions qui l'ont amené en arbitrage en sont caractéristiques et ses modifications sur l'article Boris Souvarine, caricaturales ;
- Georges a ses têtes. Comme il l'indique lui-même « en clair, je discute de tout, mais pas avec n'importe qui [...] à part cela, cet individu ne m'intéresse pas ». Comment peut-on avoir autant de mépris pour d'autres contributeurs ? Sinon de se penser meilleur, de se croire supérieur. C'est peut être pour cela qu'il a cette fâcheuse habitude d'effacer les discussions qui ne l’intéressent pas et de ne pas répondre aux autres ;
- Georges est grossier et n'en a pas conscience. Il n'y a que lui qui ne se voit pas grossier et il n'a qu'un mot pour rejeter toutes les accusations « absurde », par contre c'est évidemment son interlocuteur qui « s'est montré avec [lui] grossier, arrogant, méprisant et insultant ». Dommage pour lui, d'un avis plutôt général qui dépasse largement le cadre des seuls arbitres, il est bien reconnu comme un contributeur agressif et grossier, c'est donc l'hôpital qui se fout de la charité.
Évidemment, dans ces conditions comment accepter un arbitrage ? Il n'a jamais rien fait, c'est toujours l'autre, de la faute de l'autre, il est aussi innocent que l'agneau qui vient de naître, il veut même des excuses, « il n'y a strictement rien à arbitrer », finit-il par écrire.
Mais pourquoi tant de haine, exprimé aussi grossièrement, envers les arbitres ?
À lire l'arbitrage, il est très difficile d’imaginer un seul instant que les arbitres ont failli. Pas de phrase définitive, de jugement à l'emporte-pièce, de révélation indigne, rien de plus ni de moins qu'une vérification de diffs - citation de texte -, qu'une analyse de situations, qu'un contrôle des propos tenus. En fin de compte, des décisions équilibrées, tellement équilibrées même que son contradicteur a été aussi déclaré fautif.
Ce qui doit gêner Georges, c'est qu'il a été déclaré plus coupable que l'autre parti, tellement plus coupable que les arbitres ont demandé à Georges de réfléchir 6 jours en dehors de Wikipédia pour insultes contre 3 jours à Horowitz pour agressivité. 3 jours, 6 jours, une éternité, surtout quand on est soi-disant déjà en wikibreak, voilà donc une décision que Georges qualifie « de débile et d'inique [...] d'absurde ou de sanctions ubuesques ».
C'est vrai que cette décision était assortie de l'interdiction de propos agressif et de guerre d'édition entre Georges et Horowitz sous peine d'un nouveau blocage de 2 semaines et demie. Georges devrait pourtant être satisfait, lui qui ne voulait plus avoir de contact avec son contradicteur. Cela ne peut donc pas valoir le qualificatif de « raisonnement spécieux » mais plutôt celui de jugement sensé.
Reste quand même un fait troublant pour quelqu'un qui juge si sévèrement les comportements d'autrui, son/ses faux-nez et leurs utilisations. Créer un faux-nez Chik-Chak pour contourner d'abord un wikibreak déclaré et ensuite un blocage prévisible n'est pas de la première intelligence ; conclusion logique un doublement de blocage. Cela doit peut-être être le fait de ce que George appelle « des inquisiteurs sadiques ».
Il ne faut pas oublier la section témoignages qui n'est qu'« une zone de non-droit où les contributeurs [...] viennent impunément vomir leur bile dixit Georges ». Quatre contributeurs sont donc venus témoigner en faisant état de ce que tout le monde peut constater : la grossièreté et l'agressivité de Georges et consécutivement ses blocages mais comme Georges se déclare exempt de tout défaut ce ne peut être qu'un vomi de bile. Oui mais voilà, trois des témoignages font la part des choses en précisant que Georges est souvent confronté à des PoV-pushers tout aussi agressifs, sinon plus. En fait, être réaliste et montrer que rien n'est tout noir ou tout blanc, c'est impunément vomir sa bile. Étonnante vision des choses.
S'il est une chose que Georges peut reprocher au CAr c'est les délais bien trop long pour arriver à une décision, 6 mois, c'est au moins 4 de trop. Délai qu'il faut relativiser, ouvert le 14 octobre, déclaré recevable le 20 octobre, Georges n'est intervenu dans cet arbitrage que les 14, 15 et 26 octobre. Voilà bien 6 mois « de tortures ».
En fait Jean-Jacques Georges n'a jamais accepté, qu'un contributeur ose le trainer devant le CAr pour ses agressions grossières, que des contributeurs témoins ont osé tenter de justifier ses comportements grossiers et que les arbitres ont osé confirmé sa grossièreté. Quels crimes de lèse-majesté, moi, grossier, jamais. Cela suffit aux yeux de Georges à justifier la disparition du CAr. « A part le fait que je ne me suis jamais senti représenté par cette saloperie de comité je n'ai jamais prêté de légitimité à ses méfaits [...] » écrit-il, il va amender sa phrase en « cet infect comité », peut-être n'est-il pas si aveugle que cela à sa grossièreté ? Grand bien lui fasse, mais faudrait-il encore avoir des arguments valables autres que des grossièretés pour obtenir la suppression du CAr.
Tout compte fait, ainsi va bien Wikipédia, entre grossièreté, arbitrage et blocage.