C'est avec regret que nous apprenons aujourd'hui le décès à l'âge de 23 ans de Jean-François quatrième des Buissière d'une lignée émérite de journalistes, grand patron de presse, président de Gorafi News Network, éditeur du pure-player Le Gorafi, célèbre sur la toile pour ses enquêtes journalistiques qui ne lui ont jamais valu le prix Albert Londres, une des plus grandes injustices de ce monde envieux des médias.
René-Jean Buissière, son frère jumeau, nous a confirmé, que Jean-François à été tué, ce 17 mai, dans son bureau parisien de la rue Drouot par Henriette Rainouard, femme d'un wikipédien célèbre sous le pseudo de C********x, de six balles de revolver de marque Browning, deux dans les jambes, deux dans le ventre, une dans la poitrine, la dernière ou la première ou l'une quelconque d'entre les six (l'enquête de la police ne pouvant le déterminer et Henriette Rainouard ne pouvant rien attester, « j'ai fermé les yeux » a-t-elle déclaré) se perdant les boiseries. Transporté à l'hôpital, Jean-François Buissière devait mourir de ses blessures au ventre, le service d'urgence de Hôtel-Dieu à Paris n'ayant pu le recevoir suite à une décision de fermeture de l'AP-HP - assistance publique-hôpitaux de Paris. Il venait de publier un article « Pour obliger les gens à aller se coucher, Wikipédia va fermer ses serveurs entre 23h et 6h ». Henriette Rainouard profitait de ses nuits esseulés, son mari étant bloqué devant son ordinateur par une grave maladie, le wikipédéholisme, pour le tromper avec un certain RemiM*****, président d'une association aux buts sociaux obscures. (ndlr : le wikipédéholisme, d'abord connue sous le nom de wikipédiholisme, se répand très rapidement depuis l'autorisation en France du mariage pour tous, le vaccin de l'Institut Pasteur, connu sous le nom de Frigide Barjot, étant impuissant à empêcher son développement.)
Par ailleurs, Rémi Mathis, très connu uniquement dans les médias et à la DCRI - direction centrale du renseignement intérieur - comme le patron de Wikipédia, a déclaré aujourd'hui dans une conférence de presse retransmise à partir de 16 h sur plusieurs chaines de télévision, que ce n'était pas pour la santé des contributeurs de Wikipédia que cette fermeture était envisagée, mais que c'est la DCRI qui demande cette fermeture par lettre recommandée à la Wikimedia Foundation. Cette administration régalienne explique qu'elle a vu ces dernières années ses effectifs fondre du fait de la RGPP - révision générale des politiques publiques - et qu'elle ne peut plus suivre en temps réelle les Recent Changes de Wikipédia. Cette fermeture lui permettant de rattraper nuitamment son retard accumulé dans la journée. Si la Wikimédia France ne s’exécutait pas, malgré l'absence de justifications demandées, Rémi Mathis, son patron, serait mis en garde à vue et en examen, peut être même en prison préventive, pour l'obliger à éteindre lui-même tous les soir les serveurs.
René-Jean troisième des Buissière et Jean-François quatrième des Buissière, tué aujourd'hui, sont les petits-fils du créateur du journal Le Gorafi, un journal d’information généraliste créé en 1826 par Jean-René premier des Buissière d'une lignée émérite de journalistes.
Jean-René Buissière est né le 12 mai 1812, jeune écolier brillant mais dyslexique, à la fin de ses études communales, il entre au journal Le Figaro le jour de sa création le 15 janvier 1826, comme Barbier qui bien après lui rentrera rapidement à L'Express.
D'abord grouillot de la rédaction, il est rapidement promu cafetier des fondateurs, quatre fois par jour, il devait avec une régularité digne d'éloges sucrer le robusta à défaut des fraises. Protégé du chansonnier Maurice Alloy, celui-ci le promeut instantanément rédacteur, le jour où par inadvertance Jean-René lui servi un arabica. Il a alors pour tâche de vérifier qu'au marbre, l'épigraphe n'était pas oublié lors de la composition du journal. C'est à lui, que Le Figaro se devait de devenir un organe de presse qui « faisait la barbe » à Charles X, quand Jean-René transforma le « Vive le roi, quand même » par « la Vérité, quand même ». Pour cette initiative visionnaire et dyslexique, Alloy le nomme rédacteur en chef contre l'avis de son associé Étienne Arago qui n’appréciait pas de voir ainsi dévoiler prématurément ses visées politiques. Malheureusement, comme chef de la rédaction, Buissière ne put cacher longtemps, à la face de ses lecteurs, sa dyslexie. Le journal en perte de lecteurs courait à sa perte comme le Soir en France décline. En désaccord avec Auguste Lepoitevin, le repreneur du Figaro, Jean-René Buissière quitte le journal pour créer son propre organe de presse.
Ayant tiré les enseignements de sa courte mais lumineuse expérience, il décide de faire une synthèse de la presse d'alors en créant l'antithèse du Figaro, une thèse comme une autre, Le Rogafi (ndlr : et non Le Garofi comme indiqué par erreur ici ou là). Mais ce qui est bien vrai, c'est que Jean-René Buissière, dépose à la Préfecture de Police, sa demande d'autorisation de publier sous le nom de Le Gorafi, la dyslexie a bon dos ! C'est en recevant l'accord signée du Préfet Guy Delavau, qu'il constata ses errements dyslexiques, c'était trop tard pour changer quoi que ce soit. Le 12 mai 1826 paraissait donc la première feuille du Gorafi avec cette une visionnaire « Les Français doutent-ils du sacre de Charles X ? »
La Belle Époque est l'âge d'or de la presse en France, après la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881, Jean-Marie fait du Gorafi une feuille à succès. Les Jeudis littéraires du Gorafi seront célèbres et courus du tout Paris. C'est lors d'un de ces Jeudis que Jean-René réussi à convaincre Émile Zola de faire paraître son article dreyfusard dans les colonnes du Figaro, espérant ainsi discréditer son principal concurrent. Malheureusement Zola est un très bon écrivain et un avocat exceptionnel qui fera de son « J'accuse ... ! » un succès de presse. Cette indécision de Jean-René à choisir le bon camp suggère à Caran d'Ache son célèbre dessin du 14 février 1898. C'est le seul échec de Jean-René qui le minera toutes les dernières années de sa vie. Jean-René premier des Bessières d'une lignée émérite de journalistes, décède le 17 mai 1912, cinq jours après avoir fêté trop copieusement son centième anniversaire. C'est son fils René qui prendra avec succès sa suite.
René Buissière, est né le 12 mai 1898 et comme son père, rentre en journalisme à la fin de ses études, mais digne fils de son père, directement au poste de directeur, directeur du journal et directeur de rédaction, il faut bien quelques avantages à être le fils de son père. Son premier papier sera visionnaire, Armand Fallières ayant déclaré qu'il ne briguerait pas sa réélection, il titre « Les Français doutent-il de l'élection de Raymond Poincaré ? » Avec la guerre, René, patriote convaincu, dirige et rédige du front. Le Gorafi sera le premier journal au monde à annoncer dans son édition du matin du 11 novembre 1918, l'Armistice, mettant fin à la Grande Guerre, information recueillie auprès de son saint-cyrien de capitaine grâce à sa position privilégiée en première ligne et vite transmis par pigeon voyageur. C'est la lecture du Gorafi qui déclenchera la volée des cloches à 11 heures du matin dans toutes les communes de France ; on aurai cru Pâques en novembre.
Dans les Années folles, René se bat pour faire vivre son journal face au nouveau média populaire qu'est la Radiodiffusion. Il lancera dans les pages du Gorafi un brillant Carnet mondain. C'est alors qu'un célèbre parfumeur, très marqué à droite, cherche à acheter un journal pour appuyer son combat politique. François Coty fait une proposition à René Buissière qui refuse celle-ci mais l'oriente vers Le Figaro. Coty en fait l'acquisition et il fera perdre au journal la majorité de ses lecteurs que Le Gorafi recueille avec plaisir. Le fils à dépassé le père et René envoie ses reporters sur tous les grands conflits de l'époque, comme la guerre d’Éthiopie, la guerre sino-japonaise ou la guerre Espagne.
Ironie de l'histoire, René rachète, au nez et à la barbe de Coty qui n'était pas au parfum, l'hôtel particulier de George Kessler au Ranelagh. Quand les troupes allemandes rentrent dans Paris, les journaux parisiens quittent la capitale. René, lui, préfère installer une petite presse d'imprimerie dans les dépendances de l'hôtel du Ranelagh qui sera réquisitionné par l'occupant pour y loger des personnalités nazis du Gross Paris. René imprime une feuille de résistance à l'occupant Le Gorafi vaincra, sous le nez des boches, ainsi relativement à l'abri, les recherches de la Gestapo, pour trouver l'imprimerie clandestine, n'aboutiront jamais jusqu'à l'hôtel du Ranelagh, impensable.
Le « cahier bleu » de Pierre-Henri Teitgen encadre la renaissance de la presse nationale à la Libération et Le Gorafi sous le nom de Le Gorafi libéré retrouve ses lecteurs et son concurrent Le Figaro qui a paru jusqu'au 11 novembre 1942 à Lyon. Le Figaro a sauvé son honneur en faisant repousser au 26 novembre 1942 la date de parution limite à partir de laquelle la presse est qualifiée de collaborationniste.
Le Gorafi devient le premier journal de France avec un tirage de plus d'un million d'exemplaires par jour avec 7 éditions, René développe alors un véritable empire de presse aidé par sa femme Hélène qui lance un magazine qui devait avoir pour titre, Hélène-Gorafi, le premier magazine féminin moderne portera finalement le prénom de sa directrice apocopé en Hele mais les graphistes metteurs en page, croyant en une erreur, titrèrent Elle. Le frère de René, Roger, lance lui aussi un journal hebdomadaire Le Gorafi-Dimanche. Si René avait raté l’essor de la radio, il ne ratera pas celui de la télévision puisqu'il est avec Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet et Igor Barrère à l'origine de la première émission télévisée d'information et de reportage, Cinq colonnes à la une. René popularise la bande dessinée en France, la dernière page du Gorafi est célèbre pour ses strips verticaux encadrant des bandes dessinées horizontales.
Céline Buissière, deuxième jeune épouse de René défraie la presse people quand elle donne naissance à deux jumeaux, René-Jean et Jean-François, le 23 décembre 1990, grâce à des spermatozoïdes congelés de René. René deuxième des Buissière d'une lignée émérite de journalistes dit « René les bretelles » peut alors mourir le 17 mai 1998 exactement au même âge que son père. Ses enfants trop jeunes, c'est sa femme Céline qui dirige Le Gorafi qui, avec la perte de vitesse de la presse écrite, est redevenu un journal qui vivote plus ou moins bien. Elle cède, le 12 mai 2012, son fauteuil de présidente du Gorafi, trop étroit pour deux, au seul aîné des jumeaux, René-Jean troisième des Buissière d'une lignée émérite de journaliste qui vient tout juste de terminer ses études.
Jean-François Buissière, le cadet frustré, décide ce même jour de créer un média à part, un pure-player, en reprenant le nom de GorafiPart pour son site d'information internet. Après une longue polémique avec un organe de presse Média-Participation, il garde le nom de Gorafi. Pour respecter la tradition commencée par son grand-père, suivi par son père, Jean-François écrit, le 12 mai 2012, son premier article « Les Français doutent-ils de l'élection de François Hollande ? ». L'article qui déclenchera tout est Pour obliger les gens à aller se coucher, Wikipédia va fermer ses serveurs entre 23h et 6h. Nous savons maintenant que c'est à cause de ce dernier article que la femme d'un internaute atteint de wikipédiholisme (peut être wikipédéholisme), une maladie grave, fait irruption dans le bureau de Jean-François Buissière pour le tuer de plusieurs balles de revolver. L'ensemble de la presse française est dans l'attente impatiente de savoir si René-Jean va décider de s’asseoir dans deux fauteuils à la fois, et s'il ne s’assied que dans un seul, quel sera-t-il ? Nous savons de source certaine, qu'un certain Edwy Plenel, aurait fait des propositions de rachat pour éviter que Le Gorafi continu à faire de l'ombre à son propre site d'information.
Dans l'attente de sa décision, les contributeurs de Wikipédia cherche une source nationale centrée sur René-Jean Buissière pour savoir s'il mérite un article à son nom ou s'ils devront se contenter de faire une simple mention dans l'article de son frère jumeau qui lui vient de gagner en même temps que sa mort sa notoriété et son article sur Wikipédia. Article pourtant déjà contestée par certains autres contributeurs, appelés en jargon wikipédiens, des suppressionnistes, car avec les articles de presse annonçant sa mort, après ceux ayant annoncé la création de son site Le Gorafi, il ne s'est écoulé qu'un an et non deux comme l'exigent les critères d'admissibilité propres à Wikipédia. Une PàS – page à supprimer – est déjà envisagée pour l'article Jean-François Buissière pour manque de sources.
René-Jean Buissière, son frère jumeau, nous a confirmé, que Jean-François à été tué, ce 17 mai, dans son bureau parisien de la rue Drouot par Henriette Rainouard, femme d'un wikipédien célèbre sous le pseudo de C********x, de six balles de revolver de marque Browning, deux dans les jambes, deux dans le ventre, une dans la poitrine, la dernière ou la première ou l'une quelconque d'entre les six (l'enquête de la police ne pouvant le déterminer et Henriette Rainouard ne pouvant rien attester, « j'ai fermé les yeux » a-t-elle déclaré) se perdant les boiseries. Transporté à l'hôpital, Jean-François Buissière devait mourir de ses blessures au ventre, le service d'urgence de Hôtel-Dieu à Paris n'ayant pu le recevoir suite à une décision de fermeture de l'AP-HP - assistance publique-hôpitaux de Paris. Il venait de publier un article « Pour obliger les gens à aller se coucher, Wikipédia va fermer ses serveurs entre 23h et 6h ». Henriette Rainouard profitait de ses nuits esseulés, son mari étant bloqué devant son ordinateur par une grave maladie, le wikipédéholisme, pour le tromper avec un certain RemiM*****, président d'une association aux buts sociaux obscures. (ndlr : le wikipédéholisme, d'abord connue sous le nom de wikipédiholisme, se répand très rapidement depuis l'autorisation en France du mariage pour tous, le vaccin de l'Institut Pasteur, connu sous le nom de Frigide Barjot, étant impuissant à empêcher son développement.)
Par ailleurs, Rémi Mathis, très connu uniquement dans les médias et à la DCRI - direction centrale du renseignement intérieur - comme le patron de Wikipédia, a déclaré aujourd'hui dans une conférence de presse retransmise à partir de 16 h sur plusieurs chaines de télévision, que ce n'était pas pour la santé des contributeurs de Wikipédia que cette fermeture était envisagée, mais que c'est la DCRI qui demande cette fermeture par lettre recommandée à la Wikimedia Foundation. Cette administration régalienne explique qu'elle a vu ces dernières années ses effectifs fondre du fait de la RGPP - révision générale des politiques publiques - et qu'elle ne peut plus suivre en temps réelle les Recent Changes de Wikipédia. Cette fermeture lui permettant de rattraper nuitamment son retard accumulé dans la journée. Si la Wikimédia France ne s’exécutait pas, malgré l'absence de justifications demandées, Rémi Mathis, son patron, serait mis en garde à vue et en examen, peut être même en prison préventive, pour l'obliger à éteindre lui-même tous les soir les serveurs.
René-Jean troisième des Buissière et Jean-François quatrième des Buissière, tué aujourd'hui, sont les petits-fils du créateur du journal Le Gorafi, un journal d’information généraliste créé en 1826 par Jean-René premier des Buissière d'une lignée émérite de journalistes.
Jean-René Buissière est né le 12 mai 1812, jeune écolier brillant mais dyslexique, à la fin de ses études communales, il entre au journal Le Figaro le jour de sa création le 15 janvier 1826, comme Barbier qui bien après lui rentrera rapidement à L'Express.
D'abord grouillot de la rédaction, il est rapidement promu cafetier des fondateurs, quatre fois par jour, il devait avec une régularité digne d'éloges sucrer le robusta à défaut des fraises. Protégé du chansonnier Maurice Alloy, celui-ci le promeut instantanément rédacteur, le jour où par inadvertance Jean-René lui servi un arabica. Il a alors pour tâche de vérifier qu'au marbre, l'épigraphe n'était pas oublié lors de la composition du journal. C'est à lui, que Le Figaro se devait de devenir un organe de presse qui « faisait la barbe » à Charles X, quand Jean-René transforma le « Vive le roi, quand même » par « la Vérité, quand même ». Pour cette initiative visionnaire et dyslexique, Alloy le nomme rédacteur en chef contre l'avis de son associé Étienne Arago qui n’appréciait pas de voir ainsi dévoiler prématurément ses visées politiques. Malheureusement, comme chef de la rédaction, Buissière ne put cacher longtemps, à la face de ses lecteurs, sa dyslexie. Le journal en perte de lecteurs courait à sa perte comme le Soir en France décline. En désaccord avec Auguste Lepoitevin, le repreneur du Figaro, Jean-René Buissière quitte le journal pour créer son propre organe de presse.
Ayant tiré les enseignements de sa courte mais lumineuse expérience, il décide de faire une synthèse de la presse d'alors en créant l'antithèse du Figaro, une thèse comme une autre, Le Rogafi (ndlr : et non Le Garofi comme indiqué par erreur ici ou là). Mais ce qui est bien vrai, c'est que Jean-René Buissière, dépose à la Préfecture de Police, sa demande d'autorisation de publier sous le nom de Le Gorafi, la dyslexie a bon dos ! C'est en recevant l'accord signée du Préfet Guy Delavau, qu'il constata ses errements dyslexiques, c'était trop tard pour changer quoi que ce soit. Le 12 mai 1826 paraissait donc la première feuille du Gorafi avec cette une visionnaire « Les Français doutent-ils du sacre de Charles X ? »
La Belle Époque est l'âge d'or de la presse en France, après la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881, Jean-Marie fait du Gorafi une feuille à succès. Les Jeudis littéraires du Gorafi seront célèbres et courus du tout Paris. C'est lors d'un de ces Jeudis que Jean-René réussi à convaincre Émile Zola de faire paraître son article dreyfusard dans les colonnes du Figaro, espérant ainsi discréditer son principal concurrent. Malheureusement Zola est un très bon écrivain et un avocat exceptionnel qui fera de son « J'accuse ... ! » un succès de presse. Cette indécision de Jean-René à choisir le bon camp suggère à Caran d'Ache son célèbre dessin du 14 février 1898. C'est le seul échec de Jean-René qui le minera toutes les dernières années de sa vie. Jean-René premier des Bessières d'une lignée émérite de journalistes, décède le 17 mai 1912, cinq jours après avoir fêté trop copieusement son centième anniversaire. C'est son fils René qui prendra avec succès sa suite.
René Buissière, est né le 12 mai 1898 et comme son père, rentre en journalisme à la fin de ses études, mais digne fils de son père, directement au poste de directeur, directeur du journal et directeur de rédaction, il faut bien quelques avantages à être le fils de son père. Son premier papier sera visionnaire, Armand Fallières ayant déclaré qu'il ne briguerait pas sa réélection, il titre « Les Français doutent-il de l'élection de Raymond Poincaré ? » Avec la guerre, René, patriote convaincu, dirige et rédige du front. Le Gorafi sera le premier journal au monde à annoncer dans son édition du matin du 11 novembre 1918, l'Armistice, mettant fin à la Grande Guerre, information recueillie auprès de son saint-cyrien de capitaine grâce à sa position privilégiée en première ligne et vite transmis par pigeon voyageur. C'est la lecture du Gorafi qui déclenchera la volée des cloches à 11 heures du matin dans toutes les communes de France ; on aurai cru Pâques en novembre.
Dans les Années folles, René se bat pour faire vivre son journal face au nouveau média populaire qu'est la Radiodiffusion. Il lancera dans les pages du Gorafi un brillant Carnet mondain. C'est alors qu'un célèbre parfumeur, très marqué à droite, cherche à acheter un journal pour appuyer son combat politique. François Coty fait une proposition à René Buissière qui refuse celle-ci mais l'oriente vers Le Figaro. Coty en fait l'acquisition et il fera perdre au journal la majorité de ses lecteurs que Le Gorafi recueille avec plaisir. Le fils à dépassé le père et René envoie ses reporters sur tous les grands conflits de l'époque, comme la guerre d’Éthiopie, la guerre sino-japonaise ou la guerre Espagne.
Ironie de l'histoire, René rachète, au nez et à la barbe de Coty qui n'était pas au parfum, l'hôtel particulier de George Kessler au Ranelagh. Quand les troupes allemandes rentrent dans Paris, les journaux parisiens quittent la capitale. René, lui, préfère installer une petite presse d'imprimerie dans les dépendances de l'hôtel du Ranelagh qui sera réquisitionné par l'occupant pour y loger des personnalités nazis du Gross Paris. René imprime une feuille de résistance à l'occupant Le Gorafi vaincra, sous le nez des boches, ainsi relativement à l'abri, les recherches de la Gestapo, pour trouver l'imprimerie clandestine, n'aboutiront jamais jusqu'à l'hôtel du Ranelagh, impensable.
Le « cahier bleu » de Pierre-Henri Teitgen encadre la renaissance de la presse nationale à la Libération et Le Gorafi sous le nom de Le Gorafi libéré retrouve ses lecteurs et son concurrent Le Figaro qui a paru jusqu'au 11 novembre 1942 à Lyon. Le Figaro a sauvé son honneur en faisant repousser au 26 novembre 1942 la date de parution limite à partir de laquelle la presse est qualifiée de collaborationniste.
Le Gorafi devient le premier journal de France avec un tirage de plus d'un million d'exemplaires par jour avec 7 éditions, René développe alors un véritable empire de presse aidé par sa femme Hélène qui lance un magazine qui devait avoir pour titre, Hélène-Gorafi, le premier magazine féminin moderne portera finalement le prénom de sa directrice apocopé en Hele mais les graphistes metteurs en page, croyant en une erreur, titrèrent Elle. Le frère de René, Roger, lance lui aussi un journal hebdomadaire Le Gorafi-Dimanche. Si René avait raté l’essor de la radio, il ne ratera pas celui de la télévision puisqu'il est avec Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet et Igor Barrère à l'origine de la première émission télévisée d'information et de reportage, Cinq colonnes à la une. René popularise la bande dessinée en France, la dernière page du Gorafi est célèbre pour ses strips verticaux encadrant des bandes dessinées horizontales.
Céline Buissière, deuxième jeune épouse de René défraie la presse people quand elle donne naissance à deux jumeaux, René-Jean et Jean-François, le 23 décembre 1990, grâce à des spermatozoïdes congelés de René. René deuxième des Buissière d'une lignée émérite de journalistes dit « René les bretelles » peut alors mourir le 17 mai 1998 exactement au même âge que son père. Ses enfants trop jeunes, c'est sa femme Céline qui dirige Le Gorafi qui, avec la perte de vitesse de la presse écrite, est redevenu un journal qui vivote plus ou moins bien. Elle cède, le 12 mai 2012, son fauteuil de présidente du Gorafi, trop étroit pour deux, au seul aîné des jumeaux, René-Jean troisième des Buissière d'une lignée émérite de journaliste qui vient tout juste de terminer ses études.
Jean-François Buissière, le cadet frustré, décide ce même jour de créer un média à part, un pure-player, en reprenant le nom de GorafiPart pour son site d'information internet. Après une longue polémique avec un organe de presse Média-Participation, il garde le nom de Gorafi. Pour respecter la tradition commencée par son grand-père, suivi par son père, Jean-François écrit, le 12 mai 2012, son premier article « Les Français doutent-ils de l'élection de François Hollande ? ». L'article qui déclenchera tout est Pour obliger les gens à aller se coucher, Wikipédia va fermer ses serveurs entre 23h et 6h. Nous savons maintenant que c'est à cause de ce dernier article que la femme d'un internaute atteint de wikipédiholisme (peut être wikipédéholisme), une maladie grave, fait irruption dans le bureau de Jean-François Buissière pour le tuer de plusieurs balles de revolver. L'ensemble de la presse française est dans l'attente impatiente de savoir si René-Jean va décider de s’asseoir dans deux fauteuils à la fois, et s'il ne s’assied que dans un seul, quel sera-t-il ? Nous savons de source certaine, qu'un certain Edwy Plenel, aurait fait des propositions de rachat pour éviter que Le Gorafi continu à faire de l'ombre à son propre site d'information.
Dans l'attente de sa décision, les contributeurs de Wikipédia cherche une source nationale centrée sur René-Jean Buissière pour savoir s'il mérite un article à son nom ou s'ils devront se contenter de faire une simple mention dans l'article de son frère jumeau qui lui vient de gagner en même temps que sa mort sa notoriété et son article sur Wikipédia. Article pourtant déjà contestée par certains autres contributeurs, appelés en jargon wikipédiens, des suppressionnistes, car avec les articles de presse annonçant sa mort, après ceux ayant annoncé la création de son site Le Gorafi, il ne s'est écoulé qu'un an et non deux comme l'exigent les critères d'admissibilité propres à Wikipédia. Une PàS – page à supprimer – est déjà envisagée pour l'article Jean-François Buissière pour manque de sources.
À suivre. Ainsi va Wikipédia.